Tel un accord parfait :
Tout notre savoir-faire pour un soulier de qualité.

Recherché et apprécié, le savoir-faire Mc Finlay est la résultante d'une expérience de plusieurs décennies, ainsi que du travail d'artisans passionnés par leur métier.
Composées d'une multitude de modèles, nos collections sont façonnées dans des cuirs de qualité premium. La coupe, le montage de la tige et de la semelle reprennent au point près ces savoir-faire locaux que l'on se transmet via un apprentissage approfondi . Chaque chaussure, exige patience, maîtrise et dévouement.
Au final, chaque paire a quelque chose d'unique, comme du temps où tout bottier indépendant œuvrait sur commande et à la pièce pour un client particulier. Notre motivation au quotidien est de vous présenter un soulier de qualité.
Composées d'une multitude de modèles, nos collections sont façonnées dans des cuirs de qualité premium. La coupe, le montage de la tige et de la semelle reprennent au point près ces savoir-faire locaux que l'on se transmet via un apprentissage approfondi . Chaque chaussure, exige patience, maîtrise et dévouement.
Au final, chaque paire a quelque chose d'unique, comme du temps où tout bottier indépendant œuvrait sur commande et à la pièce pour un client particulier. Notre motivation au quotidien est de vous présenter un soulier de qualité.
Une manufacture qui perpétue des traditions.

Depuis toujours, nous nous efforçons d’évoluer et de nous perfectionner pour vous offrir une qualité optimale dans le respect des traditions.
Comme naguère, le stock des peausseries, sur l'arrière de la manufacture, est doté de larges fenêtres afin que les matières premières «respirent» et que leur sélection s'opère à la lumière du jour. Pour la plupart, celles-ci proviennent d'élevages et de tanneries de renom. A leur arrivée, elles sont inspectées une à une. Celles qui présentent trop de cicatrices, de veines - ou de traces de croissance lorsqu'il s'agit de jeunes veaux -, sont renvoyées. Toutes les autres sont soigneusement référencées et stockées dans l'attente d'un lancement en production. Ce jour-là, le coupeur les examine de nouveau et effectue un placement de tous les morceaux qui composent la chaussure en tenant compte des particularités et du sens du cuir qui peut varier d'un animal à l'autre.
La découpe est effectuée à l'aide de différents emporte-pièce en métal correspondant au patron de la partie supérieure de la chaussure, dite tige, ainsi que des languettes et des renforts. Il en existe un jeu par pointure de chaque modèle. Les perforations et les crantages qui se dessinent le long des coutures sont également réalisés avec des outils traditionnels. Ainsi, dès sa première ébauche, tout nouveau modèle passe entre les mains des artisans qui le produiront en grande quantité plus tard. Il est adapté dès le départ aux contraintes réelles d'une production.
La fabrication en elle-même débute par l'assemblage de la tige, des doublures intérieures dans des cuirs plus fins et de toutes les matières qui peuvent se cacher entre les deux. Puis, ce corps de chaussure qui n'en a pas encore la moindre allure est entreposé afin de préparer cette «matière vivante» qu'est le cuir à sa mise en forme définitive et à son assemblage sous tension. Des machines-outils sont employées à cet effet mais il ne s'agit pas d'automates. Derrière chacune, un expert s'affaire à positionner chaque pied, régler la pression, dégrossir les épaisseurs, placer la trépointe, assembler la semelle, clouter le talon… Toute paire passe en moyenne entre les mains d'une cinquantaine de personnes affectées à des tâches différentes.
Comme naguère, le stock des peausseries, sur l'arrière de la manufacture, est doté de larges fenêtres afin que les matières premières «respirent» et que leur sélection s'opère à la lumière du jour. Pour la plupart, celles-ci proviennent d'élevages et de tanneries de renom. A leur arrivée, elles sont inspectées une à une. Celles qui présentent trop de cicatrices, de veines - ou de traces de croissance lorsqu'il s'agit de jeunes veaux -, sont renvoyées. Toutes les autres sont soigneusement référencées et stockées dans l'attente d'un lancement en production. Ce jour-là, le coupeur les examine de nouveau et effectue un placement de tous les morceaux qui composent la chaussure en tenant compte des particularités et du sens du cuir qui peut varier d'un animal à l'autre.
La découpe est effectuée à l'aide de différents emporte-pièce en métal correspondant au patron de la partie supérieure de la chaussure, dite tige, ainsi que des languettes et des renforts. Il en existe un jeu par pointure de chaque modèle. Les perforations et les crantages qui se dessinent le long des coutures sont également réalisés avec des outils traditionnels. Ainsi, dès sa première ébauche, tout nouveau modèle passe entre les mains des artisans qui le produiront en grande quantité plus tard. Il est adapté dès le départ aux contraintes réelles d'une production.
La fabrication en elle-même débute par l'assemblage de la tige, des doublures intérieures dans des cuirs plus fins et de toutes les matières qui peuvent se cacher entre les deux. Puis, ce corps de chaussure qui n'en a pas encore la moindre allure est entreposé afin de préparer cette «matière vivante» qu'est le cuir à sa mise en forme définitive et à son assemblage sous tension. Des machines-outils sont employées à cet effet mais il ne s'agit pas d'automates. Derrière chacune, un expert s'affaire à positionner chaque pied, régler la pression, dégrossir les épaisseurs, placer la trépointe, assembler la semelle, clouter le talon… Toute paire passe en moyenne entre les mains d'une cinquantaine de personnes affectées à des tâches différentes.